Karim Ben M’Barek, Chercheur à l’I-stem et encadrant bienveillant

Karim Ben M’Barek est chercheur à l’I-stem.

Il encadre aussi Élise Hérardot, doctorante et finaliste de Ma Thèse en 180s de l'Université Paris-Saclay, au quotidien. Il supervise la tenue des expériences et l’analyse des résultats notamment.

Originaire de Bourgogne, c’est à l’Université de Dijon qu’il passe d’abord sa licence en biologie.

Je ressens le besoin de comprendre le vivant de manière générale, c’est une passion qui m’anime depuis longtemps.

 

Karim Ben M’Barek a une appétence particulière pour les cellules souches. Il quitte Dijon en 2007 et rejoint Paris pour travailler au CEA en neuroscience sur des cellules souches murines (de souris) afin de comprendre leurs réactions aux stress. Puis fin 2008 il se spécialise en neuroscience et intègre l’Institut Curie où il travaille plus particulièrement sur la maladie de Huntington (maladie génétique du cerveau). 

Comprendre le vivant : une passion

J’ai rejoint I-stem il y a 8 ans où je continue à travailler sur les cellules souches mais humaines cette fois-ci. Je travaille à la fois en recherche fondamentale et appliquée.

 

Karim précise que le travail de recherche fondamentale est possible grâce au travail de l’équipe qui permet de comprendre les mécanismes pathologiques pour envisager des solutions thérapeutiques.

On s’intéresse à d’autres pathologies que celles directement impactées par le travail de nos collègues. Par exemple, le travail mené par Élise Hérardot (générer différents sous-types de la rétine), nous ouvre des perspectives pour comprendre des maladies génétiques qui affectent cette rétine.

On essaye de générer des cellules qui ont une mutation génétique qui cause une maladie chez l’homme et entraîne une perte rapide de la vision. On se sert de ces modèles pour comprendre comment fonctionnent ces maladies et ainsi trouver des traitements.

 

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