Région Île-de-France
Une région tournée vers l’avenir, l’enseignement et la recherche
Avec plus de 1 million de lycéens, étudiants et apprentis, qui préparent des diplômes allant du certificat d’aptitude professionnelle au doctorat, l’Île-de-France a de quoi parier sur l’avenir.
Trois académies, plus de 1 million d’étudiants, d’apprentis et de lycéens sur un seul territoire : l’Île-de-France est une concentration unique en matière d’enseignement secondaire et supérieur. La région est riche de ses jeunes, de leur matière grise et de leur savoir-faire.
Universités et lycées
Les huit départements franciliens sont la terre d’accueil de 17 universités, et du plus grand nombre d’écoles d’ingénieurs, de commerce, de gestion, d’art, de santé… de l’Hexagone. Cela représente plus de 600.000 étudiants venus de toute la France.
À leurs côtés, pas moins de 470.000 lycéens fréquentent quotidiennement les 471 établissements publics et privés de la région. Parmi ceux-ci des structures classiques, qui accueillent les filières générales ou professionnels, mais aussi d’autres, plus atypiques, comme les cinq microlycées qui accueillent, en effectif réduit, les élèves « décrocheurs ». Et, pour faciliter la vie des lycéens, qui ne sont pas tous voisins de leur établissement, 16.000 places d’internat au total leur sont ouvertes pour vivre au mieux leurs études.
L’apprentissage en plein essor
Et, du certificat d’aptitude professionnelle (CAP) au master pro, les études, c’est aussi l’apprentissage. Une filière particulièrement prisée par les jeunes Franciliens puisque, en 2012, plus de 100.000 d’entre eux étaient accueillis dans un des 176 centres de formation d'apprentis (CFA) de la région. En cinq ans, leur nombre a augmenté de 40% ; ils forment à plus de 800 métiers, dans tous les secteurs. Outre les formations « traditionnelles », de nouvelles filières font leur apparition pour mener à des métiers liés à la transition environnementale tel qu’installateur de panneaux solaires, responsable déchets d’une entreprise, technicien en qualité de l’air…
L’Île-de-France a de quoi surprendre : terre attrayante par la diversité de ses paysages, de ses habitants et de leur histoire, terre attractive par ses atouts économiques, par la richesse de son patrimoine et son foisonnement culturel.
Un poumon économique
Premier service
Métropole culturelle et intellectuelle, laboratoire scientifique et urbain, l’Île-de-France est aussi le poumon économique du pays, réalisant à elle seule 28% du produit intérieur brut national. Le fait d’être la région-capitale se traduit logiquement par la puissance du secteur des services. 82% des actifs franciliens travaillent dans le secteur tertiaire, dans l’administration, la banque, le tourisme, les aides à la personne ou le commerce.
La recherche en tête
Avec 40% des effectifs des chercheurs français, l’Île-de-France dispose d’une capacité de création et d’innovation unique en Europe et s’affirme comme l’une des toutes premières régions scientifiques et technologiques dans le monde. Les sept pôles de compétitivité franciliens se mobilisent pour conforter cette vocation, en développant la recherche appliquée, en améliorant les transferts de technologie et en renforçant les synergies avec les acteurs économiques.
Berceau industriel
Son tissu industriel compte encore des secteurs de pointe – l’automobile, l’aéronautique, l’imprimerie, l’électronique, la pharmacie ou encore l’agro-alimentaire –, même si certains sont confrontés à une crise profonde.
Ces activités économiques façonnent les paysages franciliens, de la vallée de la Seine, berceau de l’industrie automobile, au quartier d’affaires de La Défense (92), du plateau scientifique de Saclay (91) à La Plaine-Saint-Denis (93) qui se tourne vers les industries du cinéma, du marché international de Rungis (94) au port de Gennevilliers (92), tous deux dédiés à la logistique.
Objectif terres
Nombreux sont les témoignages de la vocation agricole de l’Île-de-France. Les moulins de Pantin (93) et de Corbeil-Essonnes (91) rappellent que la région a été et demeure une terre de grandes cultures céréalières. L’agriculture maraîchère lutte, elle, pour se maintenir aux portes de Paris et approvisionner la population en produits frais de proximité. Pour y parvenir, elle mise notamment sur le développement de circuits courts, mais aussi sur des interventions foncières pour résister à l’étalement urbain.